Tout a commencé avec une simple image.
 Une plage jonchée de déchets, un sac plastique flottant, et cette fameuse tortue piégée dans un filet abandonné.

C’est ce genre de moment qui secoue.
 Celui où tu te dis : « OK, on veut créer une marque… mais à quoi elle va vraiment servir ? »
 Et là, c’est devenu clair :

“Si on fabrique des chaussures, alors elles doivent aussi nettoyer l’océan.”

🌊 L’eau comme moteur d’idées

Quand on pense performance, on pense souvent à courir plus vite, sauter plus haut.
Mais aujourd’hui, courir vite ne suffit plus. Ce qui compte, c’est vers quoi on court.
Avec Verserk, on a voulu donner du sens à chaque pas.
Alors on a cherché des solutions concrètes, pas des promesses creuses.
On a trouvé des partenaires qui collectent les déchets plastiques marins.
Notre idée : transformer cette matière polluante en tissu, en semelle, en structure.

Redonner vie à ce que l’humain a abandonné.

♻️ 5 bouteilles par paire, et bien plus que ça

En moyenne, une paire de Verserk contient l’équivalent de 5 bouteilles plastiques recyclées.
Elles sont repêchées, nettoyées, broyées, puis refondues pour créer un nouveau fil, plus léger et résistant que tu ne l’imagines.
Ce n’est pas qu’une question de matériaux.
C’est une manière de créer autrement, sans ajouter du neuf dans un monde déjà saturé.

🧵 Éco-conception mais sans compromis

Quand on parle de recyclé, beaucoup pensent encore à du bas de gamme.
Mais chez nous, pas question de sacrifier le style, le confort ou la performance.
On a bossé dur pour que le rendu soit technique, propre, futuriste.
Et chaque détail, du design aux coutures, est pensé pour durer.

Moins jeter. Mieux porter. Plus longtemps.